Des passions de celles qui, quoi qu’on fasse, nous trouvent même lorsque l’on se cache
Des passions qui viennent taper à votre porte chaque
week-end mais aussi presque chaque jour de la semaine…
Des passions qui dévorent tellement on y pense, tellement on
n’en dort plus,
Des passions qui doivent être assouvies à moins d’en devenir
somnambule et de commettre un crime…
Des passions contre lesquelles personne ne peut lutter… Et
en même temps, contre lesquelles on n’a aucune envie de lutter, disons-le.
Après tout, quel intérêt de lutter contre une passion qui
nous apporte un relatif bien-être et une grande satisfaction ?
Bon, convenons-en, parce qu’il y avait le mot « relatif »
devant bien-être dans la phrase précédente et que certaines passions sont
également néfastes…
Mais ne pourrions-nous pas jouer un tour à ses passions pour
n’en prendre que la grande satisfaction et le positif bien-être en semant ses
côtés néfastes ?
Et bien oui… je vous répondrai un grand oui !
Vous avez toujours rêvé de vous baigner dans un océan de
chocolat, ou de manger des tacos, des burgers, des falafels en pouvant ensuite
vous relever du canapé sans culpabilité ? Vous l’aurez compris depuis un
bon moment, ce petit blog fait partie de la belle famille des blogs où on parle
de « cuisine saine » sans que ça effraie ou vous fasse fuir, car le
mot d’ordre reste la gourmandise !
J’ai toujours rêvé de ça quand j’étais ado et que tout était
possible car à cette époque, la magie voulait que je pouvais me goinfrer sans
prendre un gramme mais que je me trouvais tout de même trop épaisse (folle que
j’étais ou dictât de la beauté maigre évidemment) mais je rêvais de m’enfiler un
moelleux au chocolat sans aucune culpabilité…
Et un jour je suis tombée au milieu de cette petite jungle où on nous parlait d’IG, de supprimer le beurre, de s’éloigner du sucre blanc. J’ai soupiré en me disant qu’on allait encore manger des brioches en carton, des yaourts acides natures et sans sucre, et des salades de fruits insipides… Et après la première bouchée, je me suis dit « non mais oh c’est bon ce truc… mais en plus c’est que c’est digeste… non mais c’est dingue ! »
Forcément, je m'y suis mise jusqu'au cou... Trop bon de manger presque sans complexes!
En arrivant dans mon univers, le petit prince était confiant
mais craignait tout de même la privation et les légumes à l’eau et je ne lui
jetterai jamais la pierre pour ça, nous avons tous nos préjugés! Et ce qu’il a
le plus aimé, c’est de se régaler à tous (bon peut être pas tous, avouons
quelques ratés) les repas et au final de faire fondre une petite bedaine qu’il
avait autrefois (ce qui lui permet de faire le clown et de faire croire à sa
mamie que je ne le nourris pas et le martyrise… heureusement, personne ne le
croit, enfin je pense…).
Mais le Petit Prince a une passion dévorante et sans faille :
le BURGER, ce top de la street food qu’ont sauvagement lancé les chaines de
fast food en France. On a évidemment pas besoin de les citer, vous voyez très bien de qui
on parle. Depuis quelques années, cette street food de basse qualité a laissé
place à une conquête parallèle bien plus intéressante : Brasseries, chef
renommés ont mis au goût du jour une street food gourmande, recherchée où le seul trio steak haché semelle et sauce moutarde dans un pain brioché était remplacé
par des fromages régionaux, des sauces maisons et des viandes variées. Et enfin,
certains se sont lancés dans l’aventure du burger végétarien ! Grande
tendance du moment dans le milieu VG également, on trouve des burgers pour tous les
goûts sur la blogosphère comme dans les ouvrages ! Le petit dernier, celuide Cléa et d’Estérelle ne devrait d’ailleurs plus tarder à retrouver l’étagère
des cerises agitées !
Et ici, on cuisine souvent des burgers fait - maison car on n’a
encore rien trouvé de meilleur (à part peut être un burger portobello à tomber
de chez Gentle Gourmet à Paris !) On aime les défis du burger VG car il s’agit
d’une vraie composition du pain qu’on va préparer en fonction du steak VG, du
parfum du steak VG qui ira parfaitement avec sa sauce, et peut-être son fromage…
Vous aviez déjà pu avoir un aperçu de ce type de burger cet été avec mon burger complètement Girly mais aussi avec un Burger publié sur le très très chouette
E-book co-écrit avec des géniales bloggueuses « Healthy Comfort Food »
(traduction = la nourriture qui nous réconforte mais qui est saine !)…
Le post du jour vient quant à lui, inaugurer je pense
une belle série qui se veut annuelle car j’ai bel et bien promis au Petit
Prince de lui préparer un burger par semaine (ou quinzaine si je varie avec une
pizza maison) sur le thème « Le Monde ». En échange, il doit lui, préparer une recette d’un département de France par semaine. De quoi voyager dans
nos assiettes, un concept qui nous plait plutôt bien et qui devrait animer
notre année 2014 (je ne suis pas garante de la longévité du projet… car nous
sommes souvent dynamiques dans la création de projet mais moins dans leur
durabilité, avouons-le)… Vous devriez donc avoir l’immense plaisir de découvrir
assez régulièrement ce type de recettes sur le blog ! En espérant trouver
des lecteurs gourmands de street food parmi vous, voici le moment de vous
livrer cette chouette recette !
Ici, nous voyagerons au milieu des Balkans. A la confluence
des tendances culinaires grecques , turques, italiennes et slaves, la cuisine
des Balkans est marquée fortement par deux ou trois spécialités que l’on trouve
à chaque coin de rue : on vous a peut-être déjà parlé du burek (une sorte
de pâte à pain fourré soit de viande, soit d’épinards et de fromages) ou encore
des cevapi sorte de petits kebabs locaux où l’on vous sert des viandes, des
petites saucisses dans un pain. On trouve également de nombreuses viandes
fumées et des fromages typés qui se rapprochent de la feta. Le souvenir de mon
voyage dans les Balkans il y a quelques années de ça était d’un point de vue
culinaire un mariage entre la Grèce, la Turquie et la Russie. Ici, j’ai donc
choisi de faire un steak à base d’épinards frais associés à la Kasha, sarrasin
fumé utilisé dans de nombreux plats russes. J’ai voulu une sauce et une crème
qui rappelle les sauces au yaourt type tatziki en mélangeant une crème fraiche de brebis avec de l’oignon
rouge émincé et évidemment de la fêta et des olives à la grecques. Le pain est
doucement vert car j’y ai mis de la farine de lentilles. Ainsi dans ce burger,
vous trouverez des céréales, des légumineuses, des légumes frais, et des
lipides, de quoi partir sur un bon équilibre alimentaire. Pour le pain, vous
pourriez squizzer cette étape si elle vous semble longue mais quel dommage.
Après tout, il faut juste prévoir un peu de repos.
BURGER DES BALKANS –
INFLUENCE GRECO-RUSSE
Pour 4 personnes
Temps de Préparation : 30 minutes
Temps de Repos : 1h30 pour le pain
Temps de Cuisson : 30 minutes
Coût de la Recette : 8€ environ soit 2€ par personne
Niveau de la Préparation :
Intermédiaire
Matériel Spécifique : Mixeur et mini mixeur type moulin à herbes
Régime Spécifique : Végétarien , Sans Œufs,
peut être à IG Bas
Ingrédients :
Buns
moelleux tout vert :
. 240g de Farine
de blé T80 (ou T150 si recette à IG Bas)
. 100g de Farine
de lentilles
. 6 cl de Lait d’Amande (ou autre lait végétal de votre
choix)
. 2CS d’Huile
d’olive
. 1,5 CS de Graines
de lin brun
. 20g de
levure fraîche
. 1/2cc de
fleur de sel (ou sel marin)
Proportions issues de la recette Pains Extra
Moelleux de Virginie Péan, Veggie Burgers, Editions La Plage
Steaks
végétariens aux épinards et à la Kasha :
. 150g de Kasha
. 200g d’Epinards
frais
. 60g de Noix
. 3CS de Shoyu
. 1cc de Coriandre
en graines fraîchement moulue
. 1 petit
oignon ou 1 échalote
. 2 petites
gousses d’ail
Sauce à
la fêta et aux olives noires
. 30 Olives
à la grecque à dénoyauter
. 1 oignon
rouge à émincer
. 20cl de Crème
fraîche de brebis (ou yaourt à la grecque à défaut)
. Poivre
fraîchement moulu
Préparation :
1) Buns
Extra Moelleux tout verts
. Délayer la
levure fraîche dans 15cl d’eau tiède. Faire tiédir le lait d’amande et broyer
les graines de lin avec le lait d’amande dans un mini mixeur jusqu’à obtenir un
mélange mucilage (mélange un peu visqueux proche du blanc d’œuf).
. Dans un
saladier, mélanger les farines et le sel. Y ajouter l’huile puis le lait
épaissi avec les graines de lin puis en dernier l’eau tiède et la levure. Bien
mélanger et pétrir jusqu’à obtenir une boule de pâte souple et sèche (vos mains
ne doivent pas coller sinon rajouter un peu de farine. Il ne doit pas rester de
petits grains de farines non attachés sinon rajouter un tout petit peu d’eau
jusqu’à avoir tout amalgamer et trouver la texture idéale.). Vous pouvez
également vous servir d’un robot pâtissier si vous en avez un. Pétrir 2 à 3
minutes.
. Laisser
reposer la pâte dans un endroit chaud sous un torchon humide (l’idéal est de
tremper un torchon dans de l’eau très chaude et de bien l’essorer avant d’entourer
le saladier avec) pendant 1h.
. Une fois
la pâte levée, pétrir de nouveau pendant 2 minutes puis séparer la boule en 4
pâtons (= 4 petites boules). Vous les roulerez entre vos mains puis les aplatirez sur une plaque de
cuisson pour former de petits pains ronds. Couvrir de nouveau du torchon humide
et laisser lever pendant 30 minutes supplémentaires.
.
Préchauffer le four à 200° et enfourner pendant 15 minutes. Le dessous et la
croûte doivent être légèrement dorés (en fonction du four, car en ce moment j’ai
malheureusement un four à gaz qui ne dore pas le dessus). Laisser refroidir sur
une grille avant de trancher. (Prévoir pour le repas que vos pains vous
prendront environ 2h15 avant de pouvoir les garnir)
2) Préparer
les steaks végétariens :
.Faire cuire
le kasha dans deux fois son volume d’eau pendant 12 -15 minutes jusqu’à complète
absorption de l’eau. Les grains doivent être fondant et peuvent s’écraser à la
cuillère.
. Équeuter
les épinards, les rincer à l’eau fraîche. Conserver 8 à 12 petites feuilles
pour le montage du burger. Faire cuire rapidement à la poêle le reste des
épinards dans un peu de matière grasse (huile d’olive ou margarine). Mixer les
noix puis les épinards. Ajoutez-les à la kasha ainsi que les condiments (gousses d’ail
écrasées, coriandre pilée et oignon émincé) et bien mélanger à la cuillère
jusqu’à obtenir une pâte lisse (vous pouvez également tout passer au mixeur si
votre mixeur est efficace et puissant car la pâte reste plutôt sèche).
. Une fois
la pâte prête, mouillez vos mains. A l’aide d’une cuillère à soupe prélever 2
grosses cuillères dans la paume de vos mains (il faut attendre que le mélange
soit froid bien entendu sinon vous vous brûlerez) et l’aplatir pour former un
petit steak. Déposer dans une poêle bien chaude et bien huilée (huile d’olive).
Laisser cuire 5 à 10 minutes de chaque côté en fonction de l’épaisseur.
Une fois
bien grillés, déposer sur du papier absorbant pour enlever l’excès d’huile.
3) Préparer
la sauce :
Deux options
s’offrent à vous. Soit vous montez le burger en mettant sur le pain du dessous
la crème fraîche, puis le steak, puis les épinards frais, la feta et les olives
et oignons crus, soit vous pouvez mélanger la feta, la crème, les oignons
émincés, les olives. Le mélange est plus homogène (le résultat un peu moins
joli car l’olive modifie la couleur de la crème blanche) et fond plus
harmonieusement au contact du steak. A vous de choisir votre école !
4) Montage
du burger :
Trancher le
pain. Recouvrir le pain de crème fraîche de brebis (ou de la sauce mélangée).
Déposer le steak végétarien bien chaud. Coucher deux à trois feuilles d’épinard
frais. Déposer la feta, les olives et les oignons émincés (ou la sauce
mélangée) et fermer le burger.
Le burger se
suffit à lui-même mais vous pouvez bien sûr l’accompagner de frites maisongenre super saines comme nous proposait Ellen ici par exemple ; ou d’une
petite salade composée de saison.
Nota des Bio débutants :
Farine de lentilles : Ah
tiens en voilà une bien belle encore ! Mais qu’est ce que c’est que ça ?
Et pourquoi ? Princesse cerise répond à un client du Magasin bio « Il
s’agit d’une farine de légumineuse. Peu de personne l’achète car ils ne voient
pas quoi en faire. Pourtant l’intérêt est grand car il vous permet de consommer
des légumineuses et donc d’améliorer votre équilibre alimentaire sans vous
imposer une cuisson souvent longue après une période de trempage des
légumineuses. Vous trouvez également la farine de pois cassés, de pois chiches
par exemple. » Mais, ne perdez-vous pas les propriétés des légumineuses
réduit en farine ? « Non au contraire, du fait que vous ne les cuisez
pas, vous ne perdez aucune fibre, aucun minéraux et vitamines. Par contre il
faut souligner que la cuisson améliore la digestion, ce qui n’est donc pas
forcément le cas avec la farine » et comment s’en servir ? « Dans
des biscuits secs, des galettes, des crêpes, du pain, des cakes en remplacement
d’une partie de la farine. Si vous voulez en savoir plus, j’ai écris un article
sur mon blog, je vous donne l’adresse » Finalement, même partie de Biocoop
j’arrive encore à faire la vendeuse dans mon petit magasin bio…
Ça me plait
que voulez vous…
Levure fraiche : J’avais pu
déjà le dire au cours de précédents articles mais la levure fraîche peut
réveiller une grande motivation de boulange car souvent elle supprime toute
déception d’un pain qui ne lève pas. Rarement de raté avec cette dernière !
Où la trouver ? au rayon frais des magasins bio ou tout simplement chez
votre boulanger qui vous la vendra à un prix souvent dérisoire 1centime le
gramme. Si vous utilisez du levain fermentiscible ou du levain frais, surtout n’hésitez
pas à remplacer la levure fraîche ici par du levain qui lui est souvent plus digeste. Proportions = 2cc de levain
fermentiscible pour remplacer ici les 20g de levure fraiche.
Kasha : Le Kasha est une
graine de sarrasin grillée de couleur marron rouge qui compose de nombreux
plats d’Europe de l’Est et d’Asie Centrale. Elle cuit plus rapidement que son
frère le sarrasin décortiqué (compter 10 minutes pour le Kasha contre 20 pour
le sarrasin décortiqué). On le trouve essentiellement en magasin bio mais
également dans les rayons « Cuisine du Monde » ou dans les épiceries
spécialisées. Vous pourrez le cuisiner en ragout, en poêlées, en garniture etc…
« Le sarrasin est une céréale très digeste et
sans gluten. La teneur en acides aminés de ses protéines est très proche des
besoins de notre organisme. Le grillage du sarrasin affecte peu sa valeur
nutritionnelle. Nous notons toutefois une diminution des teneurs en vitamines
sensibles à la chaleur. Il demeure riche en éléments minéral, notamment cuivre
et magnésium.
(Source : La Nouvelle Assiette de Claude Aubert, éditions Terre Vivante).
(Source : La Nouvelle Assiette de Claude Aubert, éditions Terre Vivante).
Crème fraiche de brebis :
Si comme moi vous adoriez la crème fraîche mais que votre estomac et votre
corps tout entier vous ont fait oublié le plaisir qui y étaient liés, allez
voir du côté de la crème fraîche de brebis. Onctueuse et encore plus parfumée,
si vous voulez retrouver le goût d’une crème fraîche à manger à la petite
cuillère (bien entendu dans les sauces, vous aurez plus intérêt à opter pour la
crème soja ou autre crème végétale au niveau du coût et pour éviter de
surcharger en graisses saturées) pour en avoir le goût pur, essayez là !
Bien moins acide que le yaourt de brebis elle est à mi chemin entre le yaourt
bulgare et la crème fraîche entière d’Isigny. Un petit plaisir à se permettre
de temps en temps car évidemment ce n’est pas donné (compter 2.50€ les 20cl)
Epinards frais : Vous vous
souvenez certainement de ces épinards infâmes mélangées à l’eau, au lait, à la
crème ou à l’espèce de béchamel industrielle qu’on a essayé de vous faire
ingurgiter à la cantine ? Eh bien les épinards frais, c’est vraiment tout
sauf ça. Déjà si les épinards cuits vous ont traumatisé, mangez les crus, car
crus, ils sont frais, craquants croquants, à mi chemin entre la mâche et la
roquette, on en trouve d’ailleurs souvent dans les mescluns de jeune pousse. Et
cuits, à peine chauffés, ils ont un goût incomparables. Mélangés à un chouilla
de crème fraîche de brebis ou un petit peu de chèvre frais et voilà un goût de
paradis alors s’il vous plait essayez de nouveau pour vous faire un avis !
J'avoue je n'ai pas réussi à tout lire, mais ce que j'ai lu sur les VG burgers 1/semaine m'a bien plu, alors continue de nous faire rêver, et Petit Prince à se régaler :)
RépondreSupprimerJe l'admets ce peut etre un challenge de tout lire dans mes articles parfois!!!
SupprimerEt le petit prince se regale!
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerJe recommence, mon premier envoi n'a pas dû marcher !
RépondreSupprimerJe disais donc : Whouahhh, merci pour cet article qui est une vraie mine d'informations pour moi.
Je lis souvent votre blog tout en laissant très peu de messages. Votre article sur les farines est pour moi une référence, je le relis de temps en temps. Et tout ce qui tourne autour de l'alimentation "amie du foie".
En tout cas, cet article donne envie de se préparer un burger par semaine, mais il me manque pas mal d'ingrédients pour préparer celui-ci :-(...
Merci et continuez, bravo
Florence
Merci Florence pour cet adorable message!! Il fait parti des tops qui donnent un sens a ce que je fais...
SupprimerAu debut j'ecrivais pour moi et un jour on a commence a me lire et rien ne me fait plus plaisir que de savoir que mes articles tels que celui de la farine sont utiles,...
N'hesitez pas a me demander car je pouvais vous conseiller pour remplacer les ingredients que vous n'avez pas...
Merci et a bientot
Noemie
Il a l'air tellement bon ce burger !!!
RépondreSupprimerJe comprends la passion du burger, j'ai eu une phase ou je n'avais envie de manger que ça.
Je n'ai par contre jamais fait le pain moi-même (par grosse flemme j'avoue) et pourtant comme toi j'ai le livre Veggie Buger de Virginie Pean donc je n'ai aucune excuse.
J'ai découvert le kasha à Noël, j'ai adoré cette bonne odeur de sarrasin qui a embaumé la maison, comme les galettes de mon enfance !
Il a bien de la chance ton petit prince que tu le bichonnes avec toutes tes recettes !!
J'ai hâte de voir la prochaine recette de burger.
Gros bisous envieux de ce burger !
Merci Bene!!! 😀
SupprimerEt oui la kasha me rappelle tellement de delicieuses recettes que j'ai du mal a ne pas succomber quand j'en vois...
Gros bisous amoureuse des burgers
Merci Bene!!! 😀
SupprimerEt oui la kasha me rappelle tellement de delicieuses recettes que j'ai du mal a ne pas succomber quand j'en vois...
Gros bisous amoureuse des burgers
super appétissant
RépondreSupprimeril y a déja beaucoup de détails pour les novices mais toutefois j'avoue ne pas connaitre le Shoyu qui est présent dans le "steak" au kasha
Bonjour! Le shoyu est une sauce de soja fermente salé qu'on a l'habitude de voir dans la cuisine asiatique... elle sale les plats de maniere plus saine que le sel pur. On trouve aussi le tamari qui lui est sans gluten... a bientot sur le chant des cerises :-)
SupprimerBonjour! Le shoyu est une sauce de soja fermente salé qu'on a l'habitude de voir dans la cuisine asiatique... elle sale les plats de maniere plus saine que le sel pur. On trouve aussi le tamari qui lui est sans gluten... a bientot sur le chant des cerises :-)
SupprimerRecette très originale mais c'est vrai qu'il y a des ingrédients que je ne connais pas.
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